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Crédit photo TAP
À commencer par Hélène Matte, la plus jeune de ces vénérables poètes, qui a livré un hommage touchant à ses comparses-poètes, dont Jean-Claude Gagnon.
« Jean-Claude, maudit, t’es tendre!T’es la poésie à vif, toujours naissante, grouillante et primesautière.Tu souffles sur l’ordinaire des habitudes avec ton harmonica délirant et tes litanies inventées. Avec toi, c’est toujours le printemps et le poème est vert, vert tendre. (…) »
Puis, Jean-Claude, dans toute sa vulnérabilité flamboyante, est venu habiter la scène avec son harmonica et sa cascade poétique. On a failli voir un double de sa personne tant sa présence était émouvante.